Erwan Castex aka Rone vient de sortir son nouvel et deuxième album : Tohu Bohu.
Ne connaissant pas très bien le personnage et son oeuvre, je me suis plongé tête baissée dans ce nouvel opus qui, loin de m’avoir déçu, m’a convaincu dès les premiers morceaux.
Pour avoir écouté de nombreuses fois l’album depuis sa sortie le 15 octobre dernier sur le label Infiné, je pense qu’il n’y a pas de meilleur résumé que la signification du titre de cet album : Tohu Bohu.
Noms que les livres hébraïques donnent au chaos primitif, à l’état confus des éléments qui précéda la création du monde. Décris l’état de la planète Terre avant que Dieu ne dise: «Que la lumière soit. »
Spatial & planant à la fois, Bye Bye Macadam est le premier morceau que j’ai écouté en boucle.
Je ne pense pas me tromper en disant que le titre fait référence au départ de Rone pour Berlin qui est « parti de France énervé contre Paris et le système français en général, et même musicalement ».
Marrant quand on fait la relation avec le nom du premier morceau – Tempelhof – est sa signification (quartier de Berlin où se trouve l’aéroport).
Et si Rone essayait de nous raconter une histoire où les morceaux en seraient les chapitres ? Celle de son départ pour un renouveau où il serait le créateur de son nouvel univers.
Pour en savoir plus, découvrez l’interview de Rone par Electroblog.
Tohu Bohu est disponible dès aujourd’hui sur iTunes.
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